Long article sur Sacha Baron Cohen, écrit par William, recopié par William, corrigé par William, approuvé par William, dénigré par William, qui vous souhaite une mauvaise lecture.
Sacha Baron Cohen n'existe qu'à travers ses personnages. En effet, depuis son 1° double, Ali G (créé en 2002 (entre autres pour une émission télé qu'il animait)), il n'a pratiquement plus existé en tant que lui-même. Que ce soit dans la rue ou pour une interview, il n'y avait qu'Ali G ; Cohen était certainement parti manger des marmottes. Ce fut la même chose pour Borat, en 2006. On ne vit au Festival de Cannes que le reporter kazakh, Sacha Baron Cohen n'était pas là.
BORAT
En 2006 sort BORAT, comédie extrêmement controversée. Elle raconte l'histoire de Borat (jusque là logique), un reporter kazakh, qui a perdu sa virginité à 5 ans avec sa soeur, 4ème prostituée du kazakhstan. Il est envoyé avec son caméraman aux Etats-unis. Le film suivra son "périple", nous montrant son passage à la gay-pride , son hymne kazakh, ses excréments en sachet
, et ses poils de gabardine prêt-à-emporter à 11,50£ (oui, je sais, je suis dégueulasse).
Borat part pour profiter des "lessons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan", mais sèmera plus le trouble (notamment à la télé) qu'il n'apportera de conseils. Bref, un film que je conseille à tous, surtout aux Zouzbecks de base (les âmes sensibles).
BRÜNO
3 ans plus tard sort Brüno, un film -plus, voir aussi- extravagant que Borat. Ne l'ayant pas vu, je vais m'en remettre à notre cher Allo(c'est qui? comment ça va?)ciné.
Le film raconte l'histoire de Brüno, homosexuel autrichien, et roi de la mode. Il se fera une place en Amérique, et ira interviewer notamment un terroriste (N.B: on notera que Sacha Baron Cohen en a conclu, après interview, que les terroristes n'ont pas d'humour) au péril de sa vie.
Désolé pour le manque d'infos, mais il st dur de s'en procurer.
*Inculte, tu sers à rien! Moi je vais vous en dire plus! En fait, Br(manquant)
The DICTATOR
Le 20 juin 2012 sort The Dictator, avec Cohen dans le rôle-titre. Il incarne ici le dictateur de la République de Wadiya, et dit: "Les immigrés ont autant de droits que le peuple, c'est-à-dire aucun". Comme ça, vous avez le personnage.
L'Amiral Général Aladeen, aidé de son conseiller "Oncle Tamir" (joué par un excellent Ben Kinksley), conduit d'une main de fer la riche mais isolée République de Wadiya. Mais les Etats-Unis (encore eux!) en ont "marre" de sa tyrannie, et l'appellent à York, New York, pour prononcer un discours de paix. Il s'y rendra donc à force d'éléphants, de chameaux, et de...(manquant)
Bref.
Après un BORAT excellent, un BRÜNO un peu moins bon mais tout de même jouissif (you touch my tralala), le 20 juin est sorti The DICTATOR, et j'attends (my dingding dong),...non, j'attends les premiers avis. En attendant, je vous met un lien vers l'article du très méprisable Yoyo4591, et je vous fait de gros(manquant)
The dictator : Une comédie américaine pour prépubères ou une vraie satire du monde moderne ?
Votre avis?
A plouch'!